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Entre
politesse
et savoir vivre
Le
mercredi 23 octobre de l'an de grâce
2002, le grognard des RG qui se trouve
être également le
délégué FPIP, avisait
oralement son suzerain que le lendemain
une délégation passerait
dans les lieux
Le lendemain :
Une délégation
composée de trois gentilshommes de
la FPIP s'en est allée distribuer
le VERCINGETORIX au sein de la forteresse
RG.
En l'absence du seigneur des lieux, notre
escouade s'est présentée au
noble spadassin de permanence pour
l'aviser de sa présence dans la
place. La profession de foi de notre
organisation a été
apposée sur le panneau (posé
à terre) et, le VERCINGETORIX
distribué aux
collè
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gues
du service. L'accueil y fût
sympathique.
Le
vendredi 25 octobre 2002 (après
J.C.) :
Le seigneur du château, après
avoir appris le passage de l'escouade non
identifiée, s'est empressé
de sermonner (de la manière peu
affable qui le caractérise) les
vassaux en charge de la bonne marche et de
la surveillance du fichier en arguant
qu'aucune personne, même des gens
d'arme fussent ils gentilshommes, ne
devait pénétrer dans ce haut
lieux secret et tabou des RG (même
si les chevaliers de la FPIP ne sont
restés qu'à la porte des
lieux).
Ce même jour, le grognard passant
saluer ses collègues, s'est vu
être interpellé par le
saigneur divisionnaire afin de faire
rappeler à l'escouade les
règles de politesse en
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matière
de visite syndicale (aviser, demander,
)
Au
pourfendeur de la bienséance nous
lui posons ces questions :
Comment présenter ses
hommages à un absent ?
Comment se faire aimer (ou
apprécier) de ses vassaux en
s'adressant à eux comme à
des gueux ?
Sommes nous au
21ème
siècle ?
Quel protocole l'escouade devra t'elle
suivre la prochaine fois qu'elle voudra
s'aventurer dans la place afin de
satisfaire aux exigences du maître
des lieux ?
Cela arrive t'il souvent à ce
seigneur d'être en lutte avec ses
vassaux ?
Sylvain
Marissel
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