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En juin 1983, elle organisait une manifestation à la suite de l'assassinat de trois des nôtres, avenue Trudaine à Paris, par les terroristes d'Action Directe, libérés prématurément de prison. Cette dernière reste dans toutes les mémoires et a marqué une volonté de ne pas tolérer l'inacceptable. A la suite de cette manifestation le président de la FPIP était révoqué puis réintégré par le Conseil d'État.
En 1989, la FPIP prenait la défense de la mémoire de cinq gendarmes assassinés à Ouvéa en Nouvelle Calédonie par des indépendantistes. Ses prise de positions lui valurent les foudres de l'Administration.
En 1992, quatre dirigeants de la FPIP étaient révoqués pour avoir déposé une gerbe de fleurs à la mémoire de Marie-Christine BAILLET, policier assassiné à Mantes-la-Jolie. Dans sa sagesse, le Conseil d'État à estimé que la procédure était pour le moins chancelante ; depuis, tous sont de nouveau parmi nous...
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